Pour éviter que les sangles des sacs à dos ne traînent par terre, j'avais l'habitude de les enrouler et de les nouer au bas des bretelles.
J'ai fini par adopter une technique beaucoup plus radicale : j'ai coupé le surplus de sangle, puis brûlé l’extrémité restante avec la flamme d'une bougie, avant de replier et coudre l'extrémité à la machine.
J'ai fait de même avec la plupart des sacs à dos de la maisonnée pour le plus grand confort de tous ! Ah, si mes étudiants faisaient la même chose... ce serait plus facile de circuler dans les salles !